La Nouvelle-Calédonie doit choisir sa bannière. En réglant cette question symbolique, peut-elle sortir du dilemme entre autonomie et indépendance ?

Les discussions débutent à Matignon pour fixer la "règle du jeu" du référendum d'autodétermination prévu en 2018. Sur place, les caldoches veulent rester français, en bonne intelligence avec les Kanak

A six mois du référendum sur l'indépendance, Emmanuel Macron a tenu à célébrer "l'histoire commune"

Edouard Philippe a salué la participation très élevée au scrutin et souhaite poursuivre le dialogue en décembre

Afin de mettre fin à un contentieux de 145 ans, l'avenir de ce territoire français du Pacifique Sud doit se décider en 1998 selon des accords de Matignon signés il y a dix ans, après les événements d'Ouvéa.

A 20 000 kilomètres de Paris, Kanaks et Caldoches, aidés par l'Etat, ont décidé ensemble de s'inventer un "destin commun". En évitant de le nommer.