Au gré de nos rencontres, notre nez capte mille informations sur nos semblables : leur degré de parenté génétique, leurs émotions et même de potentielles amitiés. Au point de donner naissance à ce nouveau concept : le « nez social ».

La composition de la sueur change à l’adolescence, avec notamment des molécules dont l’odeur évoque les sécrétions corporelles des chèvres. Résultat : les parents commencent à prendre leurs distances. Ce phénomène pourrait favoriser l’accès du jeune à plus d’indépendance.