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Ortese, Anna Maria (1914-1998)

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On ne lit pas assez Anna Maria Ortese. Elle est née en 1914, morte en 1998. Elle a écrit son oeuvre envers et contre tout, malgré la pauvreté et l'incompréhension. Si, en Italie, on en vient à lui rendre justice, en France, seuls ses traducteurs nous ouvrent la route.
Numéros de page :
2 p. / p. 12-13

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Anna Maria Ortese publiait en 1996 avec "Alonso et les visionnaires" le troisième volet d'une trilogie "animale", entamée avec "L'Iguane" (1965) et poursuivie avec "La Douleur du chardonneret" (1997).
Numéros de page :
2 p. / p. 14-15

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Auteurs
Date parution pério
2009-05-01
Numéros de page :
3 p. / p. 313-315

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Date parution pério
2009-02-16
Via Toledo est une rue de Naples située près du port. Aux abords de cette artère s'organise un quartier du XVIe siècle avec ses Rua Compostela, Plaza Gusmano, Quiosco, à consonance ibérique. Dans ce quartier, habita dans les années 30, la jeune Anna Maria Ortese née en 1914.
Numéros de page :
2 p. / p. 9-10

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Auteurs
Date parution pério
2009-11-16
Le fidèle lecteur d'Anna Maria Ortese, habitué à ses longs romans, qui se déroulent presque tous dans une très étrange Italie du Sud, est un peu surpris, presque inquiet, d'avoir entre les mains un petit livre qui, dit-on, rend compte d'un court séjour de la romancière en URSS. La conteuse enchanteresse se transformerait-elle en simple reporter, en sévère intellectuelle engagée ?
Numéros de page :
1 p. / p. 11

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Auteurs
Tramuta, Marie-José Auteur du texte
Date parution pério
2012-05-01
Entamée il y a plus d'une décennie, Actes Sud poursuit la publication, initiée par d'autres, des ouvrages d'Anna Maria Ortese à la grande satisfaction des lecteurs avides de cette plume étrange et fascinante qui ne laisse pas de mettre au jour une Italie autre, inquiétante et solaire, fantomatique et à jamais douloureuse, plus magique que réaliste, plus proche d'un Schopenhauer (voir Leopardi) que des fastes de la pensée idéaliste ou de ses avatars.
Numéros de page :
1 p. / p. 12

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Date parution pério
2008-07-16
Le 9 mars 1998, il y a tout juste dix ans, disparaissait à Rapallo, près de Gênes, où elle s'était retirée, Anna Maria Ortese. Elle avait 84 ans et on l'avait enfin reconnue comme la grande romancière qu'elle était. Comme Poulidor, elle arrivait toujours en seconde position après Elsa Morante pourtant moins encline aux hallucinations et aux terreurs diurnes que l'auteure d'Aurora Guerrera.
Numéros de page :
1 p. / p. 11