Traduction et commentaires de ce traité écrit en 1420 pour le duc de Savoie. C'est la seule version connue de l'organisation d'un banquet au Moyen Age. On y découvre un art de vivre où les recettes festives côtoient un poème contre la maladie. Contient l'adaptation des recettes, aux accents méditerranéens, composées pour le banquet et réalisables par tous.

G. Vasari (1511-1574) a composé une suite de biographies. Il commence au XIIIe siècle avec Cimabue et Giotto et étudie tous les grands peintres, architectes et sculpteurs de la Renaissance, Masaccio, Fra Angelico, Botticelli, Léonard de Vinci, Raphaël, Bramante. Il apporte une mine d'informations sur la vie de ses grands contemporains, Michel-Ange et Titien. ©Electre 2023

Publié en 1627, réédité en 1644, le livre de G. Naudé (1600-1653) est le premier véritable traité sur le fonctionnement des bibliothèques modernes. C'est aussi et surtout un traité sur la bibliothèque érudite, ordonnée autour d'un fonds encyclopédique et de qualité.

Somme publiée en 1681 par l'orientaliste allemand (1624-1704) sur l'Ethiopie, son milieu naturel, son histoire politique, religieuse et culturelle. Il s'appuie sur la plupart des ouvrages publiés alors sur le sujet mais aussi sur le témoignage de Abba Gorgorios, prêtre éthiopien rencontré à Rome.

En 1519, Raphaël et B. Castiglione rédigent ce texte fondateur de l'historiographie de l'architecture et de la discipline qui a élaboré la notion de monument historique. Cette épître dédicatoire était adressée au pape Léon X, fils de Laurent de Médicis, alors que Raphaël était chargé du chantier de Saint-Pierre et du relevé des antiquités de la ville de Rome.

Ce texte de la littérature bouddhique traite de la vacuité, la nature ultime de tous les phénomènes et présente de manière exhaustive la sagesse qui, pratiquée conjointement aux autres perfections, permet d'atteindre l'éveil.

Un homme simple et un érudit discutent ensemble des preuves de la perfection de l'être humain, de la sagesse éternelle et des moyens de s'en approcher. Sous la forme de dialogues, influencé par la théologie dite négative, le philosophe écrit en 1450 cet appel à savoir plus et mieux, tout en ayant conscience que la science ne sera jamais que finie.

Des premiers vers au livre posthume, dans sa vie et son oeuvre, Helvétius vit en hédoniste et en sage. Il montre qu'il est soucieux du plus grand bonheur du plus grand nombre, qu'il est passionné de justice et qu'il est attentif à créer son plaisir en même temps que celui des autres.

L'auteur commente les noms de Dieu, en expliquant leurs significations et la nécessité de l'être humain à l'égard de chacun d'entre eux. Lors de la création de l'homme selon l'anthropovision soufie, Dieu a créé Adam et lui a enseigné ses plus beaux noms à travers la Révélation pour qu'il puisse l'invoquer et le remémorer.

Rédigé en 1760 par un aristocrate florentin, ce texte est resté inédit en Italie jusqu'en 2014. Il est le premier écrit abolitionniste connu de l'histoire. En introduction, une analyse historique et philosophique décrypte l'argumentation développée. ©Electre 2016