Mads Mikkelsen en marchand de chevaux assoiffé de justice dans un drame historique au souffle romanesque.

"Orpheline" est un objet de cinéma puissant et intrigant. Entre le labyrinthe mental et Le portrait de femme explosé, un film étrange, porté par un trio d'actrices exceptionnel.

Le film d'Arnaud des Pallières sur Eurodisney, d'abord refusé par des festivals, est enfin visible à minuit sur Arte.

"Drancy Avenir", "Disneyland", "Is Dead", "Adieu" : depuis dix ans, il n'y a rien eu en France de plus fort, de plus prometteur que l'apparition d'Arnaud des Pallières. "Clean", après "Irma Vep", "Les Destinés sentimentales" et "Demonlover" : cet enchaînement dessine l'invention par Olivier Assayas d'une place originale, à la fois cohérente et incernable. Rien de commun entre les deux cinéastes.

Dans "Orpheline", d'Arnaud des Pallières, Adèle Haenel et Adèle Exarchopoulos jouent, a deux âges de sa vie, une seule et même femme, en butte à la violence des hommes. Entretien croisé.

Quand la classe montante des marchands se heurte, au XVIe siècle, à l'aristocratie déclinante. Un western cévenol.