A travers cet essai, Baudelaire prône l'accord à son époque et cette passion qui subvertit le motif, mais il introduit surtout la notion de modernité, si importante à ses yeux. Le peintre dont il est question, incarné par Constantin Guys, est défini par l'auteur comme quelqu'un dont la démarche oscille entre celle du flâneur et celle du génie.

Réflexion sur la rareté des représentations du rire dans la peinture occidentale et en particulier dans le genre du portrait, et sur la dimension iconoclaste du rire, source d'humilité et de sociabilité.

Publié à l'occasion d'une exposition organisée à la Fondation Maeght en 2013 par B.-H. Lévy, cet essai explore les rapports ambivalents entre la philosophie et l'art pictural. Six thématiques découpent ce récit qui montre comment la pensée occidentale a tour à tour mis en forme, rejeté, pris pour modèle la peinture.

Explore la façon dont le peintre tente de se réfléchir, tel un miroir, dans sa peinture. Cette autocélébration est étudiée à travers les allégories de la peinture (attributs, illusionnisme), la tradition de l'autoportrait et la représentation des attributs de l'artiste entre les mains, l'importance que revêt la signature comme signe d'authentification et la représentation de l'atelier.

Envisage le rôle que jouent les détails des tableaux et leurs statuts dans la peinture européenne des débuts de la Renaissance à la fin de l'impressionnisme.

Une relecture de l'oeuvre de Diderot à la lumière de ses rapports avec la peinture. La présence de la peinture dans les écrits du philosophe, à la fois marginale et persistante, participe de leur esthétique. A. Buchs évoque notamment la Lettre sur les aveugles, les Pensées détachées sur la peinture et Salons. Electre 2015

Présentation pédagogique des repères fondamentaux permettant de développer sa compréhension de la peinture. Format, composition, couleur ou volume, les clés pour affiner la contemplation d'un tableau sont explicitées et illustrées par des reproductions d'oeuvres. ©Electre 2017