Aller au contenu principal

Politique et gouvernement -- Équateur

Article

Date parution pério
2019-11-01
Avant le Chili, l’Équateur a connu au mois d’octobre 2019 une explosion sociale déclenchée par l’augmentation subite du prix des carburants. Une partie de la population s’estime trahie par le virage néolibéral du président Lenín Moreno, qui avait promis de poursuivre la "révolution citoyenne" de son prédécesseur Rafael Correa. Ce dernier présente ici son analyse de la crise que traverse le pays.
Numéros de page :
p.8

Article

Date parution pério
2018-02-01
Au pouvoir en Equateur de janvier 2007 à mai 2017, M. Rafael Correa a décidé de ne pas se représenter. La rupture avec son successeur et ancien collaborateur l'a néanmoins conduit à reprendre le combat. Au-delà de cet affrontement singulier, il témoigne ici des conquêtes et des reflux de la gauche en Amérique latine. Et il relève à quel point les grands médias sont devenus une arme politique au service de la contre-offensive des partis conservateurs.
Numéros de page :
pp.1, 8-9

Article

Date parution pério
2018-12-01
Pendant la présidence de M. Rafael Correa (2007-2017), l’Équateur a souvent enthousiasmé les progressistes : en réduisant la pauvreté ; en imposant une restructuration de sa dette aux investisseurs ; en accordant l’asile politique à M. Julian Assange, le fondateur de WikiLeaks… Comment expliquer le virage à cent quatre-vingts degrés de son successeur Lenín Moreno, élu pour mener la même politique ?
Numéros de page :
p.17

Article

Date parution pério
2021-02-01
Le 7 février 2021, les Equatoriens éliront leur prochain président. Le chef de l’Etat sortant, M. Lenín Moreno, s’est employé à dynamiter l’héritage de la gauche, dont il est pourtant issu. La débâcle à laquelle il a présidé constitue un revers pour les conservateurs et les intellectuels égarés qu’il était parvenu à séduire. Mais l’espoir va-t-il pour autant faire son retour dans le pays ?
Numéros de page :
p.10

Article

Date parution pério
2023-12-01
Jusqu’au milieu des années 2010, l’Équateur affichait des niveaux d’homicides singulièrement bas. Le petit pays andin est désormais l’un des plus dangereux d’Amérique du Sud. Précipité par le retour des conservateurs au pouvoir, en 2017, ce basculement dans la violence a favorisé leur candidat lors du second tour de la présidentielle, en octobre dernier. À quoi tient un tel paradoxe ?
Numéros de page :
pp.4-5