À un an de la présidentielle, la majorité comme l'opposition semblent désormais disposées à engager un débat constructif. Test grandeur nature le 13 avril prochain à l'occasion des législatives et des régionales. Sommaire. Le pragmatique de Lomé. Ils jouent le jeu face à Faure. Atcholé Aklesso : "Les prochains scrutins vont renforcer la démocratie locale". Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson : "Il appartient à Faure Gnassingbé de savoir sortir par la grande porte". Entre les gouttes. Le wax reprend de l'étoffe. Gozem, un taxi pour la fintech. Ras Sankara, performance tout risque.

Il y a sept ans, l'opposant historique au régime togolais a fini par rejoindre le camp adverse. Face aux dirigeants africains qui se cramponnent au pouvoir, il défend les vertus de la négociation. Interview de Gilchrist Olympio, Président de l'Union des forces de changement.

Les 6 et 7 septembre 2017, l’opposition a fait une démonstration de force à Lomé. Elle réclame le départ du chef de l’État, maître dans l’art de gagner du temps, juge ce quotidien de l’opposition.

Les manifestations violemment réprimées qui ont éclaté à travers le pays le 19 août 2017 ont consacré un nouveau leader politique, jusque-là quasi inconnu.

Jamais, depuis son arrivée contestée au pouvoir, le président Gnassingbé n'avait fait face à une telle fronde. D'abord surpris, mais conscient de ce qui se joue, le gouvernement resserre les rangs...

Après plus de trois mois d'affrontements par manifestations interposées, les représentants de la majorité et ceux de l'opposition s'apprêtent à engager le dialogue. Indispensable pour sortir de la crise, sera-t-il suffisant pour calmer le jeu durablement ? Sommaire. Ils vont enfin se parler ! Payadowa Boukpessi, Ministre de l'Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités locales : 'Nous n'avons aucun intérêt à ce que la situation se dégrade et menace la paix". Une vraie démocratie locale dès 2018, est-ce crédible ?

Le chef de l'Etat, Faure Gnassingbé, s'appuie sur le Plan national de développement (2018-2022) pour transformer le pays en profondeur, multiplier les projets et attirer les investisseurs. Sommaire. Faure Gnassingbé, l'homme pressé. L'infographie : 1 plan, 3 axes. Sani Yaya, ministre de l'Economie et des finances : "Tout est fait pour instaurer un climat de confiance". Eminences grises et chevilles ouvrières. Politique : hors-jeu d'opposition. Oppostion : André Johnson, vice-président de l'Assemblée nationale. Economie : cercle vertueux. Tribune : ACP-UE, d'égal à égal.

Favori du scrutin du 22 février 2020 face à une opposition désunie, le président Faure Essozimna Gnassingbé mise sur le Plan national de développement pour consolider l'embellie économique que connaît le pays. Sommaire. Les jours d'après, éditorial. Sur la voie royale. Un quinquennat, huit chantiers. Tchambakou Ayassor, président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) : " Tout sera prêt le jour J". En campagne. Et les challengers sont... Opposition. Que reste-til de la C14 ? Economie. Accélérateur de croissance. Agriculture. Kara, le champ des possibles.

Pandémie oblige, le chef de l'Etat togolais, réélu en février 2020 pour un quatrième mandat, a attendu la fin du mois de septembre pour remanier son gouvernement dont il a confié les rênes à Victoire Dogbé. Avec de nouveaux objectifs. Sommaire. Politique, changement de style. Victoire Dogbé, petit abécédaire du pouvoir. Exécutif. Sous bonne garde. Transparence. La déclaration de patrimoine prend enfin forme. Vie des partis. Remobilisation générale. Economie. Au milieu du gué. Sani Yaya, Ministre de l'Economie et des Finances : « Le Togo confirme son statut de pays réformateur ».

Médiateur dans les crises diplomatiques, résilient face à la menace jihadiste et aux chocs économiques externes, Lomé est devenu une référence régionale. Mais, trois ans après la réélection de Faure Essozimna Gnassingbé, les législatives prévues dans quelques mois vont constituer un véritable test démocratique. Sommaire. La démocratie face à ses défis. Pas question de perdre le Nord. Robert Dussey : "La Cedeao ne peut ignorer les clameurs qui ont salué l'arrivée des putschistes". Opposition, le retour ? Gerry Taama : "L'opposition, c'est moi !".