Asaph Polonsky réussit avec "Une semaine et un jour", son premier long, l'alchimie du deuil et de la comédie régressive. L'histoire d'Eyal et de Vicky qui perdent leur fils, est poignante et burlesque. Rencontre avec ce jeune réalisateur israélien nous plongeant dans cet instant particulier du deuil juif, juste après la mort du défunt.

"Une semaine et un jour", le premier film audacieux du réalisateur israélien Asaph Polonsky, dont la réussite tient dans le traitement comique des personnages, en contraste avec le cadre tragique du récit.