A l'approche de la présidentielle du mois de mars, la contestation se développe et les signes de nervosité se multiplient.

A un mois de l'élection présidentielle du 11 mars 2007, voyage dans la Mauritanie "de l'intérieur". Loin, très loin, des rumeurs et des intrigues nouakchottoises...

Ex-opposant irréductible à Maaouiya Ould Taya, il est l'un des grands favoris de l'élection présidenteille du 11 mars 2007 en Mauritanie.

Un an et demi après l'arrivée au pouvoir d'Ely Ould Mohamed Vall, le pays s'apprête à élire son nouveau président. Bilan d'une transition et enjeux d'une élection.

Il fut pour la première fois ministre sous Mokhtar Ould Daddah, il y a plus de trente ans. Avant de récidiver sous Maaouiya Ould Taya. Il est aujourd'hui l'un des favoris de l'élection présidentielle du 11 mars 2007.

Les autorités ont pris des dispositions pratiques qui, a priori, devraient garantir la transparence et l'honnêteté du scrutin présidentiel du 11 mars 2007.

Le prochain président, quel qu'il soit, sera confronté à un certain nombre de "chantiers" urgents.

Trente mille voix séparent les deux candidats arrivés en tête au premier tour de l'élection présidentielle.

Après l'élection du nouveau Chef de l'Etat, que vont faire les membres du Conseil militaire pour la justice et le développement (CMJD) ?

Inattendu, tardif et déterminant, le ralliement de Messaoud Ould Boulkheir à Cheikh Abdallahi suscite toujours critiques et interrogations. Réponse de l'intéressé, pour qui les tabous d'hier sont tombés.