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Prodi, Romano (1939-....)

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Le président du Conseil sortant pourrait faire les frais de son populisme affairiste lors des législatives des 9 et 10 avril 2006.
Numéros de page :
1 p. / p. 23

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Longtemps sous-estimé par ses adversaires, le nouveau président du Conseil compte pourtant à son actif plusieurs tours de force.
Numéros de page :
2 p. / p. 26-27

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L'accession d'un ancien communiste, Giorgio Napolitano, à la tête de l'Etat marque une normalisation de la vie politique, se félicite l'organe des Démocrates de gauche. Romano Prodi a désormais les armes pour gouverner.
Numéros de page :
1 p. / p. 15

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Démissionnaire pendant deux jours, Romano Prodi tente de reconduire son gourvernement sur la base d'un programme resséré. Mais seule la peur d'un retour de Berlusconi unit vraiment sa coalition, qui reste des plus fragile.
Numéros de page :
1 p. / p. 18

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Il a été accueilli comme l'homme providentiel de l'Europe. Mais le nouveau président de la Commission devra compter avec un Parlement qui a déjà eu la peau de son prédécesseur.
Numéros de page :
/ p. 31

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Intronisé par un parterre de chefs de gouvernement, l'ancien président du Conseil italien n'es finit pas de reler ses comptes avec son successeur, D'Alema.
Numéros de page :
/ p. 44-45

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En sillonnant l'Italie flanqué du juge Di Pietro, l'ex-président du Conseil joue sur le discrédit dont souffrent les formations politiques...
Numéros de page :
/ p. 49

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La victoire électorale de l'Olivier ouvre une page nouvelle de l'histoire de la Péninsule. Après un demi-siècle d'hégémonie de la Démocratie-chrétienne et l'intermède berlusconien, voici que débute l'ère Prodi...
Numéros de page :
/ p. 10-36

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Depuis les élections régionales du 23 avril, l'ancien Parti communiste italien, désormais transformé en un véritable parti social-démocrate, est la première formation politique d'Italie.
Numéros de page :
/ p. 18

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C'est un économiste de Bologne. Il aime la bicyclette et les pâtes. Romano Prodi vient de surgir dans l'arène politique. Il plaît aux foules. Et, face à l'illusionniste Berlusconi, ce Delors italien veut rassembler le centre-gauche.
Numéros de page :
/ p. 51