Des recruteurs peu scrupuleux attirent les jeunes talents d'Afrique en Europe. Sans se coucier ensuite de ceux qui restent sur le carreau.

Jamais on a tant parlé du bonheur, signe d'une époque où chacun croit pouvoir choisir sa vie. Mais sa recette ne se trouve pas dans les best-sellers dont raffolent les Français. Entre appétits consuméristes et quête de l'essentiel, ils tracent leur route. Nouvelles pistes.

C'est une révolution silencieuse : plutôt que se ruer chez leur docteur au moindre bobo, de plus en plus de Français se soignent eux-mêmes. Conscients que des gestes simples et une bonne hygiène de vie constituent la meilleure des préventions, ils redoublent d'initiative pour préserver leur capital santé. Quels sont les conseils et aussi les livres les plus utiles ? Nos recommandations avec l'aide de spécialistes.

Le bonheur, une idée neuve en économie

Un nouvel enjeu politique pour un vieux trait du caractère national.

Suicides, occupations d'usines, séquestrations de patrons... Quelque chose ne tourne plus rond dans les entreprises françaises. Serait-ce une peur panique du changement ? se demande l'hebdomadaire britannique.

Un journaliste américain tente de comprendre pourquoi les Français sont si attachés à conserver leurs acquis. Travailler moins pour profiter davantage de la vie : et s'ils avaient tout compris ?

C'est le pays où l'on vit le mieux, où l'on mange le mieux, où l'on boit le mieux. Pourtant, il déprime. Histoire d'un éternel paradoxe.

A l'heure où, au terme d'une bataille déchirante, l'affaire Vincent Lambert est enfin arbitrée, d'autres familles veillent sur un proche en état de conscience minimale. Comme les Petit, dont le fils a été fauché sur la route il y a douze ans. Et qui, hors de tout esprit de croisade, oeuvrent au quotidien pour son droit à exister.

Une écrasante majorité de Français souhaite finir sa vie à domicile plutôt qu'à l'hôpital. Cela invite à s'interroger sur le « chez soi ». Comment demeurer soi-même quand surgit l'épreuve de la dépendance ? Comment articuler vulnérabilité et autonomie, sinon dans une dynamique relationnelle sensible aux capacités (ou aux « capabilités ») de la personne ?