L'attaque le 23 mai 2006 de bases militaires dans le Nord fait craindre un retour aux années de braise et relance la polémique sur le rôle de Kaddafi dans la région.

Les plaies pensées en 1992 sont rouvertes. La rébellion, aujourd'hui retranchée dans le maquis, réclame un médiateur neutre.

Comme en 1992, c'est le voisin algérien qui a accepté de jouer le rôle de médiateur dans la crise touarègue. Mais à certaines conditions.

Accusé de laxisme à l'égard des rebelles touaregs, le chef de l'Etat continue de privilégier le dialogue à l'option militaire. Mais pour combien de temps encore ?

Après avoir privilégié le dialogue avec la rébellion, le chef de l'Etat a décidé de recourir à la force. Reste à mobiliser les moyens nécessaires pour gagner cette nouvelle bataille

Les médias algériens accusent les autorités de Bamako de laxisme - voire de complaisance - à l'égard des salafistes d'Al-Qaida au Maghreb islamique

Trois mois avant la présidentielle, la résurgence de la rébellion touarègue bouleverse la précampagne. Jusqu'à remettre en cause la tenue du scrutin ?

Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) a plongé le nord du Mali dans une situation de guerre depuis le 17 janvier dernier. Son porte-parole, Moussa Ag Assarid, s'explique.