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Restes humains (archéologie) -- France

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Waremme Section adultes 393/ARC/A Disponible
Année de parution :
2012
L'archéologie de la mort, à la croisée des sciences humaines et sciences naturelles par ses méthodes, alimente les sciences sociales par ses résultats. Elle s'est développée à partir des années 1980 grâce à l'essor de l'archéologie préventive, qui a permis d'appliquer des méthodes d'analyse issues de la recherche fondamentale à des échelles de temps et d'espace démultipliées, ouvrant ainsi des champs de recherche renouvelés. À travers une approche thématique et chronologique, Archéologie de la mort en France aborde la question du sens des gestes mortuaires. En effet, toutes les sociétés humaines ont dû affronter la mort de ses membres, les implications de leur disparition et le devenir de leurs cadavres. Le processus mortuaire se caractérise par une succession d'étapes significatives et de messages de la communauté et des proches du défunt. Ce qui va être déposé dans la tombe, l'architecture de celle-ci, sa mise en scène, ostentatoire ou discrète, sont des témoignages de la société, de son idéologie, de la place qu'y tenait le défunt et des pratiques de son groupe social. Le monde des morts n'est pas le reflet du monde des vivants, mais exprime le discours de ceux-ci, qui organisent une représentation, certainement idéalisée, de leur propre monde. L'archéologie permet d'aborder ces phénomènes avec une grande profondeur de champ.
Editeur :
Collection :
Archéologies de la France
Importance matérielle :
1 vol. (173 p.) : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. : 21 cm
9782707171481
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Article

On a longtemps pensé que la syphilis avait été introduite en Europe par Christophe Colomb, à son retour du Nouveau Monde. Une théorie remise en question par la découverte du squelette d'une femme enceinte atteinte de la maladie...
Numéros de page :
/ p. 10-11

Article

Auteurs
Postel, Brigitte Auteur du texte
Date parution pério
2013-05-01
Les reliques peuvent avoir une origine profane, comme cette tête naturellement momifiée, conservée pieusement depuis quatre siècles et identifiée comme étant celle du roi Henri IV. Rencontre avec Philippe Charlier, médecin légiste qui a mené cette recherche insolite.
Numéros de page :
6 p. / p. 52-57