Sarrazin, Albertine (1937-1967) -- Correspondance
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Année de parution :
1974
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1 vol. (VIII-709 p.)
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Année de parution :
1980
Julien Sarrazin hésitait devant la publication des Biftons de prison. C'est que -ces 26 billets, lettres secrètes, envoyés clandestinement de différentes prisons à Julien, grâce à toutes les ruses et complicités que l'on peut imaginer, dissimulés par lui, lorsqu'il était également prisonnier, au prix des mêmes subterfuges, échappaient à tout contrôle et donc à toute censure. On y découvre une Albertine débridée, parfois sauvage, d'autant plus libre et sans retenue dans son écriture que son corps était enfermé. Après dix ans, Julien Sarrazin a jugé qu'il fallait maintenant remettre ces derniers textes aux mains des lecteurs, des amis d'Albertine. Ils sont publiés tels qu'ils ont été écrits, sans aucune coupure. Source : Le Livre de Poche
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Importance matérielle :
1 vol. (217 p.)
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Année de parution :
1971
Cousine toute fraîche de Villon et Marot, Albertine du fond des âges rimant à cloche-pied, riant la larme à l'oeil, de son amour tout neuf, de ses prisons trop hautes, de sa jeunesse, est en deuil. Un deuil arlequin, un deuil de mi-carême, un peu masqué, un peu gavroche, un peu fêtard, - un deuil qui pour sauter plus leste le ruisseau trousse un peu haut son jupon noir : mais quoi, l'heure est grave quand même, et n'en finit pas de le rester, puisque c'est la vie qui s'écoule, au goutte à goutte, et s'en va vite, laissant quoi? laissant tes grandes prisons muettes, qui continuent, Albertine, sans toi, et ton amour inconsolé, et, pour nous, le chant de ta peine, le son unique de ta voix. Tu es le page et la princesse, le trouvère mince à la viole d'amour, et la dame captive à la plus haute tour, au hennin bleu dont le voile, très haut, très loin, mime un signal mal compris : signal de délivrance, ou éternel adieu? Ses lettres sont aussi poèmes, parce que sa plume d'or change en poème n'importe quoi. Ou plutôt, parce qu'il n'y a pas, dans sa vie, la moindre place pour le « n'importe quoi ». Qu'elle écrive deux mots, et elle se livre toute, douce et fondante à la tendresse, dure et sans merci pour son ennemi numéro un : la bêtise. Alors, la flûte mélancolique au pied de la muraille d'ennui laisse la place à la fanfare, et combien guerrière, et de quels oriflammes précédée dans la plaine claire du combat... C'est à ce combat qu'elle est morte. Et le doux-amer coeur-à-coeur de la lire aujourd'hui nous stimule à relever sa lance si nous ne savons pas reprendre la rare musique de ses mots enchantés. Source : Le Livre de Poche, LGF
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Collection :
Le Livre de poche
Importance matérielle :
1 vol. (187 p.)
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Année de parution :
1971
Albertine et Julien Sarrazin sont entrés vivants dans la légende où ils prennent place parmi les amants célèbres de la littérature et de l'art. Les lettres d'Albertine à Julien réunies ici ont été écrites en cavale et en prison, pendant de déchirantes et longues séparations : elles suffiraient à imposer la maîtrise de l'auteur, si même celle-ci ne s'était pas fait connaître par trois romans éclatants qui firent vite le tour du monde. L'éblouissant talent d'Albertine, qui avait vingt et un ans à l'époque de la première lettre, nous touche d'autant plus qu'il se voue à un amour pro-fond, intense, dont la lumière transfigure les mornes jours de la prisonnière. C'est une admirable leçon de courage que nous donne, de sa cellule lointaine, le jeune écrivain encagé. Source : Le Livre de Poche
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Importance matérielle :
543 p. : 21 cm
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