Aux Etats-Unis comme en Grande Bretagne, des représentants de la "majorité morale" pas vraiment au-dessus de tout soupçon.

Gauche et droite sont touchées par le scandale des notes de frais. Mais c'est le Premier ministre qui vacille

Une opinion révulsée, un Premier ministre éclaboussé, un Parlement contraint à l'autocritique... L'affaire du tabloïd ″News of The World″ remet en question l'influence du magnat des médias sur la classe politique britannique.

Un nouveau scandale, sur le marché interbancaire, met au jour les pratiques frauduleuses de plusieurs établissements financiers. Cette énième dérive démontre que rien n'a changé.

Fleuron du groupe de presse ultraconservateur, ″News of the World″ a été contraint de fermer, le 11 juillet 2011. Depuis des années, ses enquêteurs interceptaient en toute illégalité les mails et les conversations téléphoniques d'innombrables Britanniques, célèbres ou non.

Des secrets dérobés au gouvernement, un ancien général de l'armée et un scoop qui secoue l'establishment : l'affaire des notes de frais comporte tous les éléments dignes d'une série policière

The Independent s'est amusé à passer au crible les notes de frais des députés à l'origine d'un scandale retentissant. Conclusion de l'enquête : les différences de classe sont loin d'avoir disparu

A la suite du gigantesque scandale d'écoutes téléphoniques effectuées par le tabloïd ″News of the World″, le magnat de la presse a mis fin à la parution de ce titre. Mais, pour lui, l'heure de rendre des comptes a sonné.

Le scandale ″News of the World″ secoue tout le pays. Il montre surtout la nécessité de réformer la presse, la police... et sans doute le gouvernement.

En 2004, les services secrets britanniques auraient livré des dissidents au régime de Kadhafi. Poursuivi, le MI6 devrait invoquer une disposition juridique méconnue équivalant à un ″permis de tuer″.

Shocking ! La vénérable haute assemblée du Parlement britannique est au coeur d'une série d'affaires sulfureuses. Toujours plus de voix s'élèvent contre cette coûteuse institution dont les membres trop âgés, trop nombreux, ne sont même pas élus. Pourtant, la réforme n'est pas pour demain...

Les frasques d'Andrew, le fils cadet de la reine, et les maladresses de Charles ternissent de nouveau l'image des Windsor.