Au lendemain de la découverte des camps, la mobilisation d'une poignée de militants pose les bases de la mémoire de la Shoah, qui s'incarne dès lors par des commémorations et un engagement dans la société. En trois décennies, de 1960 à 1990, elle s'impose jusqu'à devenir universelle. L'histoire de cette construction, liée à des conjonctures politiques singulières, est racontée. Electre 2015

Plus une discussion en ligne dure longtemps, plus la probabilité d'y trouver une comparaison impliquant les nazis ou Hitler se rapproche de 1.En partant de cette "loi" (ou point, argument) de Godwin, énoncée en 1990 par un jeune avocat new-yorkais, l'auteur mène une réflexion plus générale sur l'obsession pour le nazisme et l'Holocauste, ainsi que sur la question de la liberté d'expression. Electre 2014

Dans un contexte où l'enseignement scolaire de la Shoah cohabite avec un antisémitisme virulent, l'auteur, professeur d'histoire géographie, propose de repenser l'enseignement du génocide des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Il défend un renouveau fondé sur une histoire politique et une analyse des mécanismes du processus génocidaire. ©Electre 2020

Saul Friedländer, spécialiste du nazisme et du génocide des Juifs, répond aux questions du journaliste sur les mémoires juive et allemande de la Shoah. ©Electre 2016