Après la tragédie du "Koursk" perdu par 100 mètres de fond dans la mer de Barents, les experts rompent le silence.

Ils étaient tous là, Américains, Français, Britanniques, Norvégiens... à surveiller le moindre son, le moindre écho. Deux explosions plus tard, tout est fini.

Ce n'est pas seulement un sous-marin qui s'est abîmé en mer avec ses 118 hommes d'équipage. C'est tout un système.

Là-bas, la corrosion ronge un peu plus chaque jour les sous-marins atomiques de la flotte russe d'Extrême-Orient. Et la Russie n'a pas les moyens de désactiver leurs réacteurs...