Une invitation à découvrir le jeu du Ouija et ses côtés les plus sombres : possessions, divorces, maladies, accidents, incendies, ruines, suicides et meurtres jalonnent l'histoire de cette planche, régulièrement accusée d'être l'instrument du diable. ©Electre 2017

Une présentation des passeurs d'âmes dans leurs fonctions face aux manifestations de l'au-delà : fantômes, êtres désincarnés, anges, esprits farceurs, etc. Avec des témoignages de savants et d'hommes d'Eglise. ©Electre 2017

Charles Tart,

Le témoignage d'une mère qui a perdu sa fille et qui communique avec son esprit après sa mort. La défunte lui transmet des messages qui la guident et l'accompagnent.

A l'enterrement de sa mère, la journaliste aperçoit une coccinelle posée sur sa main. Surprise de découvrir cet insecte en plein hiver, elle en découvre d'autres quelques mois plus tard puis de nouveaux signes lui apparaissent. L'auteure commence à se demander si les morts continuent à communiquer avec les vivants. ©Electre 2021

Médium, l'auteure retrace comment elle est entrée en contact avec son ange gardien, Walter Hvffer, un ancien SS qui a partagé sa vie entre le troisième Reich et l'Argentine où il a terminé sa vie. Cette âme missionnée pour veiller sur elle lui a raconté comment il a pu rejoindre la lumière malgré ses choix criminels durant la Seconde Guerre mondiale et l'a invitée à réfléchir sur le pardon. ©Electre 2021

" Dehors, il fait 5 °C, le temps est gris et venteux. Dans un instant, le prêtre va célébrer la messe d'enterrement de maman. Une coccinelle se pose sur ma main. D'où vient-elle, en ce mois de janvier ? Quelques semaines plus tard, une deuxième coccinelle surgira, et d'autres encore... J'aimerais imaginer que c'est maman qui se manifeste, et, pourtant, le doute m'assaille. La prudence voudrait que je n'y croie pas, mais, au fil du temps, de nouveaux signes – un papillon, une biche, une bague... – m'entraînent dans un monde parallèle. Comme si les êtres disparus n'abandonnaient pas leurs proches et continuaient à les aider. Saint Augustin et Victor Hugo auraient-ils raison : les morts seraient-ils "des invisibles, mais pas des absents" ? "