Pour son exposition personnelle au Palazzo Grassi, qui a ouvert peu avant le début de la Biennale de Venise, Rudolf Stingel a choisi le motif du tapis azéri, entre la verticalité de la toile et l'horizontalité du tapis, entre monochromes minimalistes et arts décoratifs.

Rudolf Stingel transforme le Palazzo Grassi en lieu de promenade, propice à une réflexion sur soi-même ou sur la peinture.

François Pinault a déroulé le tapis rouge à l'un des artistes phares de sa collection en lui offrant l'opportunité d'investir seul tous les espaces du Palazzo Grassi. Visite dans un palais méconnaissable.