Aller au contenu principal

Théorie de la démonstration

1 / 1 exemplaire(s) disponible(s)
Filtrer par bibliothèque
Afficher/Cacher les documents non disponible
Bibliotheque Localisation Cote Etat Retrait de la réservation
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources Sciences et techniques - étage 2bis 510 MURHEGA Disponible
Auteurs :
Année de parution :
2024
Manuel de logique moderne classique pour étudiants et chercheurs du supérieur, cet ouvrage présente la méthode du calcul des séquents (les groupes L). Celle-ci est une méthode de décision syntaxique ou une théorie de la démonstration utilisée par Joseph Dopp pour construire six systèmes logiques. Chacun de ces systèmes utilise des schémas d'introduction d'un opérateur dans l'antécédent ou dans le conséquent pour l'engendrement ou la démonstration des théorèmes en conformité avec les règles et les opérateurs logiques : l'implication, la conjonction, la disjonction, la négation, la négation stricte et le schéma f. Cet ouvrage présente ces systèmes logiques, les analyse, les explicite et les enrichit des exercices d'illustration résolus pour faciliter au lecteur l'approfondissement et la maîtrise de la méthode des séquents.
Editeur :
Collection :
Pédasup (Louvain-la-Neuve)
Importance matérielle :
1 vol. (150 p.) : 24 cm
9782806132567
Veuillez vous connecter pour réserver

Article

Auteurs
Bulletin : La Recherche 534
En démontrant un théorème de logique mathématique, une informaticienne a fait le pont entre théorie de la démonstration et logique infinitaire. De plus, cette preuve est constructive, ce qui autorise, en principe, une implémentation dans un ordinateur.
Numéros de page :
pp.61-62

Article

Auteurs
Date parution pério
2007-02-01
«Une preuve mathématique absolue.» C’est en ces termes que l’expert judiciaire Alphonse Bertillon avait, en 1894, certifié l’écriture d’un bordereau comme étant celle d’Alfred Dreyfus, le faisant condamner. Bertillon avait mis au point une méthode fondée sur les probabilités aussi élaborée qu’erronée, ce qui fut relevé en 1904 par trois mathématiciens, dont Henri Poincaré.
Numéros de page :
pp.42-61, 87-90