Face à la précarité économique, pas si différente de celle de 1946, de nombreux jeunes Italiens décident de quitter leur pays. Notamment pour la Belgique, et plus particulièrement Bruxelles. Regards croisés sur cette nouvelle vague d'immigration italienne.

Il a trois boulots, mais aucun contrat d'embauche. Il ne paie pas de charges, mais ne peut compter sur aucune protection sociale. Ils sont déjà 3 millions en Italie à être devenus des "travailleurs gris". Pour le meilleur ou pour le pire.

Défait à Rome et à Turin par le Mouvement 5 étoiles - une formation qui se revendique « antisystème » -, le Parti démocrate du président du conseil italien Matteo Renzi sort affaibli des élections municipales du 19 juin 2016. A croire que sa réforme du marché du travail, le fameux « Jobs Act », a davantage séduit les médias, les milieux patronaux et les sociaux-libéraux européens que les électeurs italiens...