Depuis 2004, l'entreprise polonaise Fructofresh prospère en exportant ses salades de fruits dans toutes l'Europe. Au prix de contournements de la loi, comme l'ajout d'additifs interdits dans ses produits ou l'emploi d'une main-d'oeuvre nord-coréenne dans des conditions proches du travail forcé.

Toujours poursuivie par Bruxelles pour son refus d'accueillir des migrants syriens, la Pologne attire par ailleurs de plus en plus de travailleurs d'Extrême-Orient.