Hommage aux inombrables victimes du raz-de-marée du 26 décembre 2004 qui a ravagé les côtes d'Indonésie, de Thaïlande, d'Inde, du Sri Lanka jusqu'à celle d'Afrique de l'Est.

Un an après la vague gigantesque qui a ravagé les côtes d'Asie du Sud, l'heure est au bilan. Au-delà du nombre insoutenable de victimes, cette déferlante interpelle citoyens, voyageurs et dirigeants.

Une équipe de scientifiques pronostique une guérison rapide pour la plupart des récifs touchés l'an passé.

Alors que le danger menace tous les océans du globe, la solution passe par la détection.

Au-delà de la générosité internationale, la catastrophe a révélé l'extraordinaire fraternité de tout un peuple. Indonésienne d'adoption, Elisabeth D. Inandiak témoigne.

Au large de Sumatra, le 26 décembre 2004, la Terre a tremblé si fortement que le séisme a provoqué le tsunami le plus meurtrier jamais observé : 250 000 morts. Un événement dramatique, inattendu et d'une violence telle qu'il a saturé tous les appareils de mesure sismique.

Reconstruire les zones détruites par le tsunami est un travail de titan. Mais grace aux aides, la vie et l'esprit reviennent. Au Sri Lanka et en Inde, deux ados témoignent.

Rarement désastre naturel aura provoqué une telle mobilisation. Au Sri Lanka, en Thaïlande ou à Sumatra, Olivier Péretié, Véronique Radier et Cyril Payen nous font revivre le drame de ces naufragés de l'Asie.

Confrontés à la violence du réel, que vont devenir nos rêves de voyages ? Au Salon du Tourisme, qui cristallise tous les désirs d'évasion, le tourisme se veut désormais solidaire.

Sur la côte de l'Etat indien du Tamil Nadu, comme en Thaïlande ou en Indonésie, les organisations humanitaires et les administrations se sont mobilisées pour aider la population. Mais la plupart des rescapés ignorent encore où et quand seront reconstruits en dur leurs villages...