Elon Musk a bâti son nom et sa fortune sur la transformation en profondeur des entreprises qu’il a rachetées. Cette fois-ci, il va devoir se confronter à un problème épineux qui intéresse vivement les gouvernements du monde entier : comment encadrer la liberté d’expression des internautes ?

Le patron de Tesla parle du déménagement sur Mars, de la sauvegarde de la liberté d’expression sur Twitter et de pourquoi le problème du vieillissement ne doit pas être résolu.

Ils raconteraient les histoires d’Oscar Blanco González. Sur Twitter, ce passionné fait revivre le passé de sa ville.

En devenant l’unique propriétaire du réseau social, le milliardaire américain défend la liberté d’expression tout en brisant la culture de la Silicon Valley, explique le quotidien de Wall Street.

Depuis qu’il a annoncé vouloir s’offrir Twitter pour 44 milliards de dollars, le très controversé milliardaire américain n’a rien perdu de son impulsivité. Le 13 mai 2022, il a encore joué avec les nerfs des investisseurs en annonçant la suspension du rachat. Le signe d’un retrait ou une façon de renégocier ? Quoi qu’il en soit, sa volonté de faire main basse sur la conversation mondiale en imposant sa vision d’une liberté d’expression totale inquiète la presse étrangère. Sommaire. Un "absolutiste de la liberté d'expression". L’homme qui décide plus vite que son ombre.

Le paradoxe du réseau social : extrêmement populaire, il ne parvient toujours pas à faire décoller le cours de son action.

Le milliardaire, qui vient de s'offrir Twitter, se pose en défenseur de la liberté d'expression. Gare aux secousses !

Le milliardaire s'épargne un procès en consentant à racheter le réseau social. Mais son objectif d'une "super app" semble chimérique.

Le rachat du réseau social à l'oiseau bleu révèle une nouvelle facette de l'entrepreneur : celle d'un anar de droite, bien décidé à secouer le cocotier politique. Sommaire. Elon Musk a des projets pour vous. Kim Stanley Robinson : "Le rêve martien de Musk, c'est de la mauvaise science-fiction".