"Un homme dos à la mer" est-il un roman loufoque ? Un roman philosophique ? Une critique sociale ? Il e t tout cela à la fois, dans ses bégaiements rendus par le répétitions (« de de de»), dans ses phrase parsemées de tirets et de blancs où la virgule change de place, se trouvant parfois au milieu du blanc ; dans es trouvailles linguistiques telle que celle-ci : « la plupart des gens emettent à Je-nouS devant lui » ou bien : «on peut tout balanSSer tout faire valSer, à n'importe quel moment exactement comme on vOEu », l'occasion, ici, de signaler le tour de force de la traductrice.