Véritable bijou du répertoire symphonique, la "Valse triste" est une porte d'entrée idéale dans le monde rêveur de Jean Sibelius. Mais quelle version choisir ?

Oui, les valses de Chopin peuvent retrouver l'élégance, l'intimité, la liberté du salon sans verser dans le salonard. La preuve avec Stephen Hough, magicien du piano.

En 1928, il précise dans son "Esquisse biographique" avoir "conçu cette oeuvre comme une espèce d'apothéose de la valse viennoise à laquelle se mêle, dans mon esprit, l'impression d'un tourbillon fantastique et fatal".