La reine du polar revient avec "Un lieu incertain", onzième roman, qu'elle a écrit comme ses précédents succès : à l'aveugle, et en trois semaines chrono.

Nouvel épisode des aventures du commissaire Adamsberg, forcé de mettre fin à sa retraite finlandaise... Critique. En complément, une biographie de l'auteur et la genèse de son personnage récurrent, Jean-Baptiste Adamsberg, commissaire de son état.

Humour, audace, génie des atmosphères et des personnages secondaires, écriture à la fois épurée et évocatrice... Le dernier livre de Fred Vargas, entre polar et tragédie grecque, est un petit bijou.

Elle n'aime ni Jack l'Eventreur ni Hannibal le Cannibale. Dans ses polars, l'intrigue n'est que le prétexte à l'exploration minutieuse des bas quartiers et des territoires improbables.

Neuf mois qu'elle travaille pour mettre au point une combinaison anti-H5N1. Neuf mois qu'elle s'attire au mieux des sourires, au pis des quolibets. Et si la star du polar avait trouvé le moyen d'enrayer une épidémie annoncée ?

Passée des chantiers de fouilles archéologiques au polar, Fred Vargas publie une nouvelle enquête de son héros Adamsberg. Suivie par un million de lecteurs fans, elle fuit l'exposition médiatique comme la peste - qui fut son sujet de thèse.

La reine française du crime est une archéologue qui prend la défense de Battisti, invente la cape de protection contre la grippe aviaire et se moque de la célébrité.