Cet état des lieux de l'école en France montre en quoi la culture de l'excellence, ce que l'auteur appelle "dictature de la salle de classe", sacralise des évaluations qui mettent les élèves sous pression en même temps qu'elle traite sans ménagement la notion de motivation individuelle. Ainsi, une mauvaise copie sera sanctionnée par un 0, mais une excellente copie ne recevra pas un 20.