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Faure Gnassingbé

Numéros de page :
/ p. 22-28
A l'approche de l'élection présidentielle togolaise du 28 février 2010, le chef de l'Etat et candidat à sa propre succession parle pour la première fois des dossiers sensibles. Olympio, Yamgnane, ses relations avec son frère Kpatcha, Paris... le ton est mesuré mais ferme. En revanche, l'attaque contre la sélection nationale de football au Cabinda et l'attitude de la CAF le font sortir de ses gonds.