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Julia Kristeva. La Bulagrie, l'Europe post-totalitaire et moi

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pp.46-47
Trois mois ont passé depuis la publication du dossier du KGB bulgare qui classait Julia Kristeva comme espionne sous le nom de "Sabina". L'occasion pour la sémiologue, psychanalyste et romancière, qui a démenti, d'interroger le malaise européen à travers son pays natal.