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Une Bonne question, de mauvaises réponses

Numéros de page :
4 p. / p. 182-185
Dans les débats historiques contemporains, on passe parfois plus de temps à parler d'ouvrages qui font problème que de travaux majeurs. Le sujet, les intentions, leur impact moral et politique attirent plus l'attention que la validité du propos. Pour peu qu'ils s'inscrivent dans l'air du temps, il est alors nécessaire d'en pointer les limites, quitte à les promouvoir. De ce point de vue, l'ouvrage de Jacques Semelin est presque un cas d'école.