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Sibelius, "Les Océanides"

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Numéros de page :
pp.48-51
Aallottaret : ondines, naïades, sirènes. Plus savante, la traduction d'usage chante les "Océanides". Sibelius pourrait se contenter de prolonger la tempête qui ouvre "Le Vaisseau fantôme" ou se réclamer des embruns debussystes, mais il préfère renvoyer à la mythologie nordique ou homérique.