Sibelius, "Les Océanides"
Bulletin : Diapason 684 - novembre 2019
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pp.48-51
Aallottaret : ondines, naïades, sirènes. Plus savante, la traduction d'usage chante les "Océanides". Sibelius pourrait se contenter de prolonger la tempête qui ouvre "Le Vaisseau fantôme" ou se réclamer des embruns debussystes, mais il préfère renvoyer à la mythologie nordique ou homérique.