Aller au contenu principal

Asghar Farhadi

Numéros de page :
10 p. / p. 14-23
Isabella Rossellini, présidente du jury de la dernière Berlinale, a offert à Asghar Farhadi, héritier du néo-réalisme italien, un tiercé gagnant pour ″Une séparation″ - Ours d'or, meilleure interprétation féminine (collectif), meilleure interprétation masculine (collectif) -, cas sans doute unique dans les annales des festivals. Il consacre, pour son cinquième film, un cinéaste déjà remarqué en Occident avec ″La Fête du feu″ et ″· propos d'Elly″, et confirme la vitalité des réalisateurs iraniens qui, malgré les interdits, les condamnations et les entraves de toutes sortes, persistent à proposer un cinéma novateur.