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couverture du document

Paolo Sorrentino ″La Grande Bellezza″

Numéros de page :
7 p. / p. 24-30
En retrouvant, pour la quatrième fois, son acteur fétiche Toni Servillo, Paolo Sorrentino l'a, en même temps, transformé en Ovide, en Pétrone et en Néron de la ″chute de l'Empire romain″. Dans ″La Grande Bellezza″, fresque onirique vertigineuse, débordant de personnages et de ″zoos″ sociaux, le réalisateur napolitain peint magiquement les facettes hilarantes ou horrifiantes de l'art contemporain et du désespoir exhibitionniste qu'il suscite.