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L'Arabe, parent pauvre de l'éducation étrangère

Numéros de page :
pp.94-97
Personne ne s'offusque que des enfants d'immigrés chinois ou portugais apprennent la langue de leurs parents à l'école. Mais quand un descendant de Maghrébins s'avise de faire de même, beaucoup y voient un signe de communautarisme. Lesté de sa mauvaise réputation, l'enseignement de l'arabe est largement abandonné par l'éducation nationale au profit du secteur associatif.