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L'Hubris de l'Amérique chez Scorsese

Numéros de page :
3 p. / p. 122-124
Après "Kubrick" en 2011, Scorsese se voit élevé au statut de cinéaste universel incarnant le goût de l'époque, que tous les spectateurs, et les cinéphiles, se plaisent à revoir et à encenser. Demy, Burton, Antonioni, sujets de précédentes expositions événements, peuvent toujours susciter quelques réserves. Quels ressorts de l'oeuvre scorsesienne expliquent ce triomphe public ? Nous ne sommes pourtant pas tous New-Yorkais, pas tous Italo-Américains, pas tous marqués par une morale catholique...