Christophe Gans : "Morricone donne une forme à nos joies et à nos peines"
Bulletin : So film 92
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pp.32-35
Quentin Tarantino, Quincy Jones, Daria Argenta, Valerio Zurlini... pendant 2 h 47, un casting cinq étoiles se succède devant la caméra de Giuseppe Tornatore pour parler d'Ennio Morricone. Mais "Ennio" (en salles le 6 juillet) compte peut-être un oubli dans cette succession de grands noms. Quelqu'un qui n'a pas collaboré avec lui mais connaît son oeuvre sur le bout des doigts. Voici donc le maestro italien raconté par Christophe Gans, cinéaste et incollable passeur volubile.