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Ennio, il maestro

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Auteurs
Bulletin : So film 92
Quentin Tarantino, Quincy Jones, Daria Argenta, Valerio Zurlini... pendant 2 h 47, un casting cinq étoiles se succède devant la caméra de Giuseppe Tornatore pour parler d'Ennio Morricone. Mais "Ennio" (en salles le 6 juillet) compte peut-être un oubli dans cette succession de grands noms. Quelqu'un qui n'a pas collaboré avec lui mais connaît son oeuvre sur le bout des doigts. Voici donc le maestro italien raconté par Christophe Gans, cinéaste et incollable passeur volubile.
Numéros de page :
pp.32-35

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Bulletin : Positif 736
Date parution pério
2022-06-01
La musique d'Ennio Morricone, lyrique, porteuse, participait au charme de Cinema Paradiso, où Jacques Perrin incarnait une certaine idée de l'amour du cinéma. Ces notes nostalgiques attirèrent l'attention sur son jeune réalisateur, Giuseppe Tornatore. "Ennio" est comme un hommage rendu par le cinéaste à celui qui ne s'était pas arrêté à son manque d'expérience. Documentaire aux proportions impressionnantes (2 h 36), "Ennio" sait nous rendre proche un musicien que l'on disait difficile, voire hautain. On le découvre timide et exigeant.
Numéros de page :
pp.24-31