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Impressionnisme, la révolution des couleurs

Numéros de page :
pp.24-92, 94
Au début du Second Empire, la peinture reste dominée par la toute puissance du système des Beaux-Arts qui maintient des traditions rigides et une esthétique inspirée de l'art classique. Pourtant, des voix désireuses de réformes s'élèvent, ouvrant la voie aux impressionnistes. Sommaire. Réformer l'académisme ! Hors du Salon, pas de salut ! Et les peintres sortirent du cadre. Inspirations d'ailleurs. Édouard Manet, le scandaleux. Amitiés littéraires. Degas, l'intransigeant. Le monde moderne colonise la toile. Renoir, l'hédoniste. L'acte de naissance. Monet, l'homme qui voulait peindre l'air. Monet et Clemenceau, l'art de l'amitié. Les « grandes dames » de l'impressionnisme. Caillebotte, le prophète oublié. L'homme qui changeait les toiles en or. Cézanne, fantasque et visionnaire. Néo-impressionnistes, théoriser la couleur. Un salon « sans jury ni récompense ». "Chez les impressionnistes, il y a ce rendu d'esquisse, ou de pochade, qui leur a valu des critiques de manière récurrente tout au long de leurs carrières", l'entretien avec Félicie Faizand de Maupeou, historienne de l'art. Les 150 ans de l'impressionnisme, l'agenda des expos.