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Georges Bernanos, le nihilisme et la grâce

01 juin 2018
Numéros de page :
pp.93-110
Georges Bernanos fut le "romancier du nihilisme et de la grâce", écrit Frédéric Boyer. Pour l'auteur de Sous le soleil de Satan, "chacun de nous est tour à tour, de quelque manière, un criminel ou un saint". Chez lui,"le bien n'est jamais ce qu'il paraît être. Ni le mal, d'ailleurs. L'adversaire est précisément celui qui a l'intelligence des illusions ou des apparences du bien". Sommaire. Bernanos, contre tous les nihilismes contemporains. Colères franco-espagnoles. La Grande Peur des bienpensants : un adieu à Maurras. Sous le soleil de Bandol (novembre 1945- août 1946).