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"C'était la grâce qui balbutiait des mots décousus"

16 octobre 2012
Numéros de page :
2 p. / p. 14-15
Ce recueil est un bel hommage à Amelia Rosselli et un remarquable travail de traduction dont il est à souhaiter qu'il permette à cette poétesse italienne d'être mieux connue en France. Une oeuvre incandescente mais cadencée, riche d'influences multiples, qui interpelle.