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Bouli Lanners, "L'Ombre d'un mensonge"

Bulletin : Positif 734
01 avril 2022
Numéros de page :
pp.8-14
Il y a six ans ("Positif" n° 660, février 2016), Bouli Lanners nous annonçait avoir bouclé un cycle "auteuriste" avec son film "Les Premiers, les derniers". Il a depuis poursuivi sa carrière de comédien franc-tireur (qui l'a amené à paraître en couverture de "Positif" pour le beau "C'est ça l'amour" de Claire Burger), mais c'est seulement maintenant qu'il nous revient derrière la caméra avec "une histoire contemporaine au milieu d'un paysage très romantique qui rappelle l'imagerie des soeurs Brontë". Comment ce Belge militant toujours prêt à participer aux folles virées de Dupontel ou du tandem Kervern-Delépine a-t-il posé ses valises en Ecosse pour mettre en scène de façon poignante la passion amoureuse d'une femme plus très jeune (Michelle Fairley) ? C'est ce qu'il nous raconte dans un entretien où il est beaucoup question de rock et d'Eglise presbytérienne, au milieu d'une nature sauvage qu'il filme avec son oeil de peintre-cinéaste. Sommaire. Le monde selon Millie. Bouli Lanners : "Je tournais un film, donc j'étais le diable !"