Aller au contenu principal
Veuillez vous connecter pour réserver

Passage de la Bonne-Graine

Editeur :
Année de parution :
2002
413 p. : couv. ill. en coul. : 22 cm
9782742734115
4ème de couv. : "Suite du journal d'Henri Bauchau, Passage de la Bonne-Graine couvre quatre années et demi de la vie de l'écrivain, du mois d'août 1997 à décembre 2001. Une réflexion au jour le jour sur la mort, la vie, l'art et la littérature. Aux confins du onzième et du douzième arrondissement de Paris se trouve le passage de la Bonne-Graine, un havre de tranquillité qui relie les deux artères bruyantes que sont la rue du Faubourg-Saint-Antoine et l'avenue Ledru-Rollin. C'est dans son appartement aménagé dans un ancien atelier d'artisan que revient Henri Bauchau, et que commence le dernier tome de son journal. Du 16 août 1997 au 31 décembre 2001, il consigne ainsi les réflexions, les interrogations, les joies, les heurts et les malheurs de son quotidien. La mort de sa femme, la mise en chantier de son Prométhée, une nouvelle à écrire, quelques lectures, les plaisirs de la solitude à l'occasion d'une promenade, des rencontres, des amitiés sans nuage, mais aussi des poèmes, des rêves, des actes manqués et de nombreuses citations. Au fur et à mesure de ses pérégrinations littéraires et artistiques, on croise pêle-mêle Samuel Beckett, Henri Bergson, Robert Bresson, Jean-Luc Godard, Paul Verlaine, Benjamin Constant, Octavio Paz, Gracchus Babeuf ou François d'Assise. Si ce journal d'écrivain n'est pas l'un des textes les plus audacieux de son œuvre, s'il n'apparaît pas comme l'outil nécessaire et indispensable à la compréhension de ses travaux, il n'en éclaire pas moins la personnalité et la culture d'un homme rompu à l'exercice de l'écriture. Avec ce journal très personnel, Henri Bauchau ne cherche ni à démontrer, ni à justifier. Simplement à noter, avec un naturel constant, les événements les plus substantiels de son existence."