Théâtre d'un quadruple meurtre d'une rare violence, le pavillon de la famille Troadec est à l'abandon depuis les faits, survenus il y a quatre ans. Il devrait faire l'objet d'une succession délicate entre les héritiers une fois l'affaire définitivement jugée.

Il y a dix ans, Xavier Dupont de Ligonnès s'évaporait dans la nature. Un millier de Français se volatilisent chaque année sans jamais revenir. Soit l'équivalent d'une ville de 20 000 habitants rayée de la carte tous les vingt ans. Certains, rêvant d'un ailleurs meilleur, quittent tout sans un mot, laissant leurs proches désemparés. Au travers d'histoires étonnantes et d'avis d'experts, nous avons tenté de percer le mystère de ces disparitions.

Ils commettent des horreurs mais ne seront jamais jugés. Chacun de leurs crimes suscite pourtant émoi et remise en question de la loi. En première ligne, les familles des victimes face à ces tueurs déclarés « fous ». A « Marianne », celles-ci confient leur immense détresse de savoir qu’il n’y aura jamais de condamnation pour ces individus déclarés irresponsables. Des témoignages exclusifs, rares et intenses.

Restée inoccupée depuis l'arrestation du "monstre de Charleroi", en 1996, l'ex-maison du pire pédophile de l'histoire belge, rachetée par la mairie, sera bientôt détruite et remplacée par un jardin du souvenir. Un projet symbolique en mémoire des fillettes qui y ont laissé la vie.

Ils ont fait frémir la France, martyrisé et tué des dizaines de femmes. Stoppés dans leur course criminelle, ces assassins ont été condamnés à la perpétuité assortie de peines incompressibles. Mais celles-ci arrivent aujourd'hui à leur terme... Guy Georges et Patrice Alègre pourraient ainsi se retrouver en liberté dans les semaines qui viennent, Jacques Plumain l'année prochaine. Sont-ils moins dangereux aujourd'hui ? Que prévoit la justice pour leur encadrement ? Et que risque la société ?

Depuis plusieurs mois, la France vit dans la psychose d'agressions à la seringue lors de soirées festives. Un phénomène de "soumission chimique" qui s'exerce aussi en famille. "Marianne" a recueilli les témoignages de victimes. Des cas moins isolés qu'on ne le pense.

Elles vivent des romances hors normes depuis qu'elles sont tombées amoureuses d'un assassin. Comment peut-on succomber aux charmes d'un meurtrier ? Et comment cohabiter, ensuite, avec la part sombre de ce nouvel amant ? Eléments de réponse avec trois d'entre elles, dont la compagne du tueur en série Patrice Alègre.

En décembre 2023, la nouvelle stupéfiait un petit village de la Somme : le seul suspect de l'assassinat d'une jeune Roumaine à Amiens est l'"inoffensif" mitron. L'enquête judiciaire laisse entrevoir la rencontre tragique de deux misères.

Dans l’Allier, tout semblait accuser cette femme du meurtre de son compagnon, volage et violent. Acquittée à la surprise générale, Odile Varion a obtenu la réouverture de l’enquête en 2015. Avec la certitude qu’elle ne sera pas mise en cause une nouvelle fois puisqu’en France tout acquittement est définitif…

En avril 2021, la Française Emmanuelle Badibanga est retrouvée pendue dans son bungalow au Club Med de l'île Sainte-Anne. Jugé pour meurtre, son compagnon a finalement été acquitté. Mais la famille de la victime dénonce une enquête bâclée, sur fond de batailles d'experts et de frictions diplomatiques, et espère un nouveau procès.

En mai 2020, Valentin Delobel, colosse de 102 kg, succombe à un coup de couteau dans le coeur porté par Kelly L., sa compagne, deux fois plus frêle que lui. L'entourage du couple estime que la victime vivait sous emprise. Le procès aura lieu à Grenoble à partir du 19 février 2024.

En mai 1995, Katell Berrehouc, étudiante de 19 ans, est retrouvée morte sur le lit de ses parents à Auvers-sur-Oise. Vingt-trois ans plus tard, le profil génétique détecté sous un ongle mène à un suspect. Son avocat affirme que cet indice peut être trompeur. Et la chronique des affaires criminelles ne lui donne pas tort... PAR