De Fidelio aux derniers quatuors, l'auteur analyse l'oeuvre du grand compositeur.

Biographie du compositeur anglais (1659-1695) surnommé l'Orphée britannique, réputé pour ses talents de mélodiste, la variété de sa musique, la justesse de sa rhétorique et le génie avec lequel il magnifiait la langue anglaise.

Biographie du compositeur prodigue allemand qui, à l'âge de 17 ans, avait déjà écrit deux de ses plus grands chefs-d'oeuvre. Adulé de son vivant, il passa presque dans l'oubli après sa mort. L'auteur revient sur la vie de cet homme en formulant des questions telles que : était-il classique ou romantique, novateur ou conservateur, miniaturiste ou bâtisseur de fresques, magicien ou prophète ?

L'essai tente de montrer pourquoi C. Gluck, compositeur lyrique du XVIIIe siècle, victime de préjugés plus ou moins justifiés, n'occupe pas la place qui lui est due.

Le mystère schubertien intimement exploré à travers l'étude des lieder du compositeur viennois, par un de ses interprètes les plus reconnus, le pianiste Philippe Cassard.

Cette biographie du musicien et compositeur allemand (1833-1897) remet ses oeuvres dans leur contexte de création.

Le claveciniste et chef d'orchestre Christophe Rousset aborde la figure complexe du compositeur Jean-Philippe Rameau à travers un portrait et une approche intimiste de ses multiples facettes, et plus particulièrement de sa facette musicale.

Ce livre raconte le fabuleux destin de Jean-Baptiste Lully à l'époque de l'invention et de l'organisation de l'opéra dans la France de Louis XIV, dont Lully sera l'ami et le serviteur. L'héritage culturel de ces deux hommes a longtemps été oublié. V. Borel lui rend sa vraie place au moment où la musique de Lully est redécouverte.

Biographie du chef d'orchestre L. Bernstein (1918-1990) mêlant un portrait psychologique et une analyse des caractéristiques premières de son oeuvre. Compositeur de la musique du film West Side story, il fut toute sa vie partagé entre son désir de composer et son plaisir de diriger les grands orchestres du monde.

Aux Etats-Unis, il était aussi célèbre que Louis Armstrong, Duke Ellington, Count Basie, Glenn Miller ou Miles Davis, et peut-être plus populaire. Il y a été baptisé The King of Swing dès la fin des années 1930, pour avoir donné, avec plus de ténacité que dautres, il venait des faubourgs pauvres de Chicago, avec concentration et enthousiasme, un visage musical à loptimisme. Mais popularité nétant pas, à juste titre, nécessairement considérée comme un signe de talent, en France, on nen a parfois accordé aucun à Benny Goodman (1909-1986). Il faut dire quil accumule les motifs de préjugés douteux: Blanc, interprète classique, juif et riche, cela fait beaucoup pour ceux qui auraient tendance à apprécier la musique en fonction de la couleur de peau du musicien ou de son statut social. Au moment du bilan, il faut se rendre à lévidence. Ses collègues clarinettistes, pour ne parler que de ceux-là, lont considéré comme le meilleur jazzman sur son instrument. Il fut le premier à présenter au grand public des formations mixtes, Blancs et Noirs, à une époque où le Ku Klux Klan, les Fils de la Vraie Amérique et la très quotidienne ségrégation régnaient sans partage sur une grande partie du territoire américain. Cest lui qui, le premier, fit entrer le jazz dans les temples de la musique classique.

Le présent ouvrage n'a d'autre ambition que d'esquisser, en quelques pages, une manière de portrait chinois, et ce faisant de proposer des chemins de traverse et de possibles clés pour forcer en douceur les portes de ca jardin féerique. (Quatrième de couverture)

Biographie du célèbre trompettiste de jazz qui constitue également un inventaire de son oeuvre replacée dans son contexte esthétique.

La vie et l'oeuvre du compositeur "officiel" de l'Union soviétique, tiraillé toute sa vie entre les compromissions politiques et la volonté de poursuivre son art. Une biographie à jour des dernières sources avec une série de témoignages inédits. Publiée à l'occasion du centenaire de sa naissance.

Ce portrait du compositeur repose sur le récit de sa vie et sur le mystère de sa mort. Tchaikovski meurt en 1893 peu après la première audition publique de la Sixième symphonie, dite pathétique : qui commence par des pleurs et finit par des râles.