Lorsque, à quatorze ou seize ans, la vie se met à dérailler, pourquoi ne pas prendre son sac, y mettre son vieil ours en peluche, et prendre le premier train qui part ? Pourquoi ne pas quitter ceux qui vous aiment trop ou si mal, et chercher ailleurs un peu de consolation ? De fuite en fugue, au gré de rencontres fortes et troublantes, deux adolescentes vivent une véritable aventure personnelle qui les emmènera au bout de l'enfance. (Quatrième de couverture)

Des comptines pour jouer Aux quatre coins Avec le plus et le moins, Le tiers et le quart, Les chiffres et les nombres Et découvrir que plusieurs zéros Bout à bout, ça peut faire beaucoup, Tout dépend de ce qui est devant.

L'univers familial et les soucis quotidiens d'une petite fille qui a parfois des idées bien arrêtées sur le choix des vêtements ou sur la coiffure à adopter pour ressembler à sa cousine préférée. Une histoire par jour. (Livres-Hebdo).

A plat ventre, Jenny se frayait un chemin dans les fourrés. Elle fit signe à Miranda et à Peter de se taire : le moindre bruit pouvait tout faire échouer. Elle écarta une ronce et se figea : il était là, immobile, à portée de mains, et ne se doutait pas qu'elle l'observait.

Quatre petits sauvages n'ont qu'une idée en tête, chasser le mammouth. Jamais à court d'inventions, ils tentent inlassablement de tuer le mastodonte mais celui-ci ne se laisse pas faire.... (www.choisirunlivre.com)

Mathilde en était certaine, à présent : c'est à son antipathique professeur de physique que ressemblait le jeune musicien rencontré le matin même à la gare de Juvisy. Découverte encore plus troublante : dans la classe, la nouvelle n'était autre que la fille du prof ! Une agression dans le RER et un hold-up dans lesquels ce même jeune homme est impliqué poussent Mathilde à se plonger dans une histoire familiale où les rancoeurs prennent racine dans le passé de l'Occupation

beau récit, entre amour et différence, entre violence et absolu. Une petite fille de onze ans, Rebecca, vit à Alexandrie. Chaque année, elle passe trois mois de vacances, avec sa famille d'origine juive, aux portes du désert égyptien. Là, elle fait la rencontre de Dahoud, un jeune nomade, d'abord compagnon de jeu, puis, peu à peu, amour complice. La première partie du récit évoque tout à la fois l'attente et les rapports sensuels des jeunes héros au milieu de cette nature fragile : d'abord l'odeur, puis la voix et, enfin les mains de Dahoud, mais aussi la chaleur, la fraîcheur de l'eau, l'enveloppe de la nuit. Une seconde partie est plus liée à la perte de l'amour et à l'abandon : l'inquiétude du père de Rebecca, la mère protectrice, le déchirement de la séparation. (Ricochet)

D'habitude, Cyril adore le moment des vacances mais cette fois, c'est différent. La naissance de Laura a tout chamboulé dans sa vie : maman ne vit plus qu'au rythme du bébé ; papa, lui, a perdu la tête et bêtifie à coups de "areu-areu" ! Cyril se sent bien triste. C'est alors qu'il découvre un chien, perdu ou abandonné. Tous deux deviennent vite inséparables. Plus les jours passent, plus Cyril se dit que l'animal est bel et bien à lui, et qu'on ne le lui reprendra pas. Un jour pourtant, catastrophe ! Les maîtres du chien se manifestent...

Je m'appelle Madeleine et ma soeur, c'est Camille, mais nous ne voulons pas être des petites filles modèles. Et mon frère, lui, ne veut pas être un "amour d'enfant" ! On en a assez des robes en dentelles et des chaussures à boucles. Tout ça, c'est la faute de ma mère et de son obsession pour la Comtesse de Ségur. Nous, on aime les chanteuses et les héroïnes de la télévision, les films qui font froid dans le dos et les bandes dessinées. On veut être des enfants normaux ! Alors, tous les trois, on s'est mis d'accord : l'opération "Je hais la comtesse !" peut commencer

Des comptines pour rêver de tangage et d'abordage, d'îles et de continents, bercé par la houle des océans ou par la chanson du vent dans les haubans.

Monsieur Toutencouleur a dessiné sa ville puis est parti voir la mer. De retour à la ville, il a gardé un tableau de la maison où se réfugier pour rêver. (Livres-Hebdo).

Belles et colorées, scintillantes de cristaux, riches en fossiles ou très banales, les roches sont partour autour de nous. Façonnées par les mouvements de la Terre et par l'érosion, elles forment les paysages. Le plus souvent, elles sont cachées. Parfois, elles affleurent et sont visibles à la surface, et on peut alors les observer et les identifier. Comment les roches se forment-elles ? Pourquoi sont-elles si différentes ? C'est le travail du géologue d'étudier les roches qui constituent la croûte terrestre et, à travers elle, de découvrir et d'expliquer l'histoire de la Terre...

"Ce qui l'attendait, c'était le vieux balai posé dans un coin de l'atelier, un balai si sale que les araignées et les cafards y avaient élu domicile... Il avait l'air inoffensif, mais c'était un balai magique, capable, sur un ordre de son maître, d'assommer un géant et de réduire en miettes un troupeau de boeufs. Le jeune garçon en avait donc très peur et rêvait de connaître la formule qui en ferait un auxiliaire obéissant." (Quatrième de couverture)

Chez les vampires on ne naît pas suceur de sang, on apprend à l'être. Le diplôme de vampire professionnel nécessite beaucoup d'efforts et de longues années d'études. Le premier examen de passage est appelé la Quenotte d'or. Pour le décrocher, les héros de ce livre sont inscrits au très sérieux Collège d'ensaignement professionnel Comte-Dracula, réputé pour ses excellents résultats et que dirige le célèbre comte de Sanpoursan. Le fils de ce dernier, Philémon, est hélas affligé d'une rare et grave maladie : il ne supporte pas la vue du sang

"Vampire diplômé ouvre son coeur et son caveau à qui saura s'y faire une place." Le professeur Archibald Dufond-Duchâteau cherche femme et a passé une petite annonce. Pour son premier rendez-vous, il veut étrenner un dentier rutilant, aux pointes de canines laquées de rouge. Alors qu'il fait paisiblement la sieste dans son cercueil, ses élèves lui dérobent cet merveille dentaire pour décorer leur abominable bonhomme de neige. Tout ce complique quand le professeur Tomasio Pommodori, un obstiné chasseur de vampires, s'en empare à son tour. Débute alors une partie de cache-cache rocambolesque

Quant tombe la nuit, les animaux se mettent à parler, ils chantent et dansent. Le petit garçon et la petite fille, réveillés, se joignent à eux. Une comptine racontée, dessinée, mise en musique par Rezvani : le texte et la musique sont vraiment très réussis, les illustrations sont chargées et un peu vieillottes, mais l'ensemble est très bien adapté aux petits à partir de 2 ans

Les hommes méprisent les animaux, ils les battent, ils les mangent, c'est insupportable ! Marguerite, la petite rate, part en campagne contre cette injustice qui doit cesser ! Que peut-elle, si petite, pour se faire respecter des hommes ? Toute seule, rien. Mais avec tous les animaux de la ferme ? Saura-t-elle les convaincre et forcer le père Michu à négocier ? Cela paraît simple, en rêve. Dans la réalité, Marguerite découvre que la politique, c'est pas du blé germé !

Dans la rue déserte, un fracas de vitres stoppe l'élan de Miranda : une fille rousse est agrippée à la fenêtre d'une maison au perron couvert de bris de verre. Une solution savoureuse et originale permettra à Miranda, Jenny et Peter de résoudre l'énigme et de prouver leur perspicacité.

Des poèmes en forme d'énigmes, Tout en malice et en rimes. Pour réfléchir en s'amusant, pour lire en observant. Des poésies devinettes, où un mot est à trouver. Il faut un peu se creuser la tête, compter les pointillés et, à la fin, savoir rimer. De l'auteur ou du lecteur, qui aura le dernier mot ? (Quatrième de couverture)