Témoignage de l'évolution des réalisations entreprises par les Bedik, ethnie du Sénégal oriental, durant la mise en perspective du programme de formation des populations locales, à l'initiative d'EDF et de la Fondation Nicolas Hulot, pour valoriser et développer leur patrimoine économique, environnemental et culturel.

Se voulant une histoire générale de l'art en Occident, de l'Antiquité à nos jours, l'ouvrage présente moins le point de vue particulier de l'auteur que les problèmes et controverses, ainsi que la diversité des approches et des lectures relatives aux objets et artefacts concernés.

Par la grâce du texte et de l'image, on peut se familiariser avec une collection originale forte de 200 oeuvres réalisées par 90 artistes surréalistes, dadas ou apparentés. Cette collection. qui abonde en aperçus insolites et merveilleux. en visions mémorables et durables. est appelée Memorabilia. en référence à Swedenborg et à Nerval. - Georges Sebbag s'est attaché à décrire chacun des tableaux. chacune des photographies. En les reliant à un certain nombre d'autres. il a dessiné des figures ou des constellations inaperçues jusqu'à ce jour dans le ciel dada et surréaliste.

L'énergie se mesure selon plusieurs degrés d'intensité, de haute et de basse tension. Les oeuvres qui en traitent utilisent des processus de transformation, de conduction, d'évolution ou de progression. Traversés par des mouvements et des flux de circulations, la plupart des oeuvres s'attachent à la mise en valeur d'un procédé.

Critique d'art, l'auteur montre que la télévision est un outil de travail pour les artistes et que c'est grâce à elle qu'ils dialoguent avec le monde. En dépassant l'usage passif du téléspectateur, ils parviennent à formuler leurs idées. De média conventionnel, la télévision devient un moyen d'expression par lequel les artistes peuvent communiquer leur vision du monde dans des formes accessibles.

Certains artistes contemporains oeuvrent dans le sens d'une consolidation du lien social. Ils activent l'échange direct ou la réciprocité, initient de grands rassemblements ou créent des structures d'accueil, dans une démarche favorisant un mieux "être ensemble". D'autres élaborent des utopies qui interrogent et critiquent l'organisation sociale et son lot de frustrations.

Chorégraphe et danseur de la compagnie Salia nï Seydou, directeur artistique de différentes manifestations au Burkina Faso, Salia Sanou présente la danse créative africaine, ses pionniers et la jeune génération.

Textes et entretiens de philosophes, historiens, anthropologues, biologistes, physiciens, psychanalystes, romanciers, artistes qui se sont attachés à définir ce qui fait la spécificité de l'humain

La peinture d'Yvon Taillandier est figurative mais également narrative. Son oeuvre crée un imaginaire très personnel avec ses personnages du Taillandier-land. Grâce à sa connaissance de la psychanalyse, l'artiste exprime une vision radicale de l'acte créateur, qu'il nomme psychovision, dont la démarche relève de la volonté autant que du fantasme.

Né en 1931, Gérard Schlosser est le peintre du choix parcellaire. Pour réaliser ses tableaux, il utilise la technique du photomontage, associant par le découpage deux ou trois éléments issus de documents différents.

Cette monographie retrace le parcours de G. Baselitz, un artiste engagé, qui s'est employé à briser les tabous d'une Allemagne en reconstruction et en quête de confort matériel. Son oeuvre plastique, qui témoigne également des blessures et des déchirements de l'enfance, s'accompagne de manifestes écrits.

Les usages inédits d'Internet et d'autres réseaux plus anciens ou plus récents diffèrent des usages quotidiens de ces outils de transmission. Leurs pratiques informent sur les qualités du monde de l'Internet, de l'espace cybernétique, lieu d'échanges d'informations. Les dispositifs artistiques s'interrogent sur la façon de représenter ou percevoir cet espace.

Ce livre est le catalogue de l'exposition présentée au Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg en octobre qui suit de près la grande rétrospective consacrée à Pierre Soulages au Centre Pompidou. Elle rassemble l'ensemble de l' uvre imprimé de l'artiste, soit une centaine d'oeuvres, sérigraphies, lithographies et eaux-fortes. En réalité, dit Soulages, pour la gravure, comme pour la peinture, je travaille poussé par une passion (...). J'ai des crises de lithos, j'ai des crises de gravures, comme j'ai des crises de peinture. (...) J'ai fait de la gravure parce que, avec la gravure, quelque chose apparaissait qui ne pouvait apparaître avec la peinture. Il souligne aussi : ce qui m'intéresse dans la gravure, c'est que l'on dirige et on se laisse diriger. Cette dernière affirmation est particulièrement révélatrice de ce qui est l' uvre dans la gravure pour Soulages. Sa prédilection pour l'eau-forte s'explique ainsi par ce double processus, ce qu'il qualifie de hasard accepté . Plus le cuivre est travaillé par la morsure de l'acide - dont l'artiste peut cependant contrôler la durée d'action - plus l'image est riche. Il faut remarquer que Soulages, peintre du noir , n'a réalisé aucune estampe entièrement noire. Rappelons son amour pour le blanc du papier et pour le papier lui-même, matière magnifique . extrait du texte de Michel Ragon

Monographie consacrée à Jean-Claude Van Blime, artiste français contemporain, présenté comme un peintre de l'énergie.

Après la Seconde Guerre mondiale, S. Baltaxé entame sa carrière artistique à Paris, dans un pays où tout doit se reconstruire. Elle suit son mari au Liban et sa perception de la lumière et de l'espace transforme son oeuvre.

A l'occasion de la saison artistique et culturelle palestinienne à Bruxelles et en Wallonie pendant l'automne 2008, présentation de la création artistique contemporaine en Palestine.

Réflexion sur l'image et ses usages à l'heure du numérique, où les auteurs abordent la fabrication de l'image photographique, cinématographique, télévisuelle et numérique contemporaine. A partir de l'exemple du Baiser de l'Hôtel de ville de Robert Doisneau et du faux charnier de Timisoara, la question du statut de vérité est posée. Ils se penchent ensuite sur l'évolution de l'image depuis 1945.

Tout d'abord peintre, A. Leccia se consacre par la suite à la photographie et à la vidéo, cherchant à analyser le comportement humain. Il réalise des installations poétiques qui montrent comment êtres et objets peuvent adopter des manières de s'adapter. Il est également engagé dans une démarche de pédagogie artistique, en tant qu'enseignant.

L'oeuvre de C. Lapicque se caractérise par un choix de formes, d'espaces et de couleurs. Son métier d'ingénieur et sa thèse de doctorat sur l'optique et la vision des contours influencent son travail. Ses thèmes de prédilection sont la mer, les courses hippiques, la civilisation antique, la musique et les figures armées.