Matt Browning, ancien soldat du SAS, doit rembourser ses dettes s'il veut rester en vie. La chance lui sourit lorsque le MI5 lui propose de réunir une équipe de 4 hommes avec lesquels il doit voler 10 millions de dollars en or et en diamants dissimulés à bord d'un cargo clandestin affrété par Al-Qaida. Si l'opération échouait, le MI5, niant toute implication dans l'opération, les abandonnerait.

A la fois thriller d'action et roman sur la manipulation psychologique, l'ouvrage décrit un duel entre une organisation terroriste et un service de sécurité intérieure. Il met aux prises l'IRA, le MI5, service de sécurité intérieure de Grande-Bretagne et le SAS, Special Air Service, unité d'élite de l'armée britannique chargée des missions de lutte anti-terroriste, ennemie jurée de l'IRA.

Février 1945, Iwo Jima, dans le Pacifique. Six soldats américains hissent leur drapeau au sommet du Mont Suribachi. La photographie de cet événement qui marquera à tout jamais la société américaine est le point de départ du témoignage par l'auteur, fils de l'un de ses hommes, sur une des épopées humaines les plus dramatiques de toute la Seconde Guerre mondiale. Adapté au cinéma par Clint Eastwood.

50.000 mercenaires ont été déployés en Irak depuis l'annonce de la fin des conflits en mai 2003. Cette armée multinationale, qui compte plus de vingt nationalités, est composée d'hommes qui louent leurs services et assurent notamment la protection des hommes d'affaires, ingénieurs, géomètres, hommes politiques et journalistes. Un témoignage. ©Electre 2016

Neil Slater, un ancien agent du Special Air Service, est recruté par le Cercle, une organisation gouvernementale britannique secrète, pour surveiller et neutraliser une cible sur le territoire français. L'intervention des services secrets serbes transforme la mission en un combat pour la survie, en plein coeur de Paris.

Durant la guerre d'Espagne, en 1809, le lieutenant Richard Sharpe, placé sous les ordres du colonel Simmerson, fait preuve d'insubordination pour sauver son régiment d'une attaque française. Son intervention n'empêche cependant pas l'ennemi d'enlever un de leurs deux drapeaux. Accusé pour cette disgrâce, R. Sharpe va tenter de restaurer son honneur.