Présentation chronologique de l'évolution des façades de magasins dans les grandes métropoles du monde entier depuis les années 1900. Comprend notamment 220 photos d'époque extraites de revues et d'ouvrages d'architecture, de revues techniques du bâtiment, etc.

La carrière de Germaine Richier (1902-1959) a duré à peine plus de vingt-cinq ans, de 1934 à 1959, mais elle laissé une trace importante dans l'histoire de la sculpture du XXe siècle. Cet ouvrage privilégie l'étude de certaines oeuvres pour montrer l'originalité d'une démarche artistique et la singularité d'un langage plastique mettant en place des repères tant thématiques que formels.

Histoire d'amour entre une jeune Antillaise, Marie-Rose, et un lycéen bourgeois, Marc, à Paris, durant la Seconde Guerre mondiale. Marie-Rose, confrontée elle-même aux préjugés xénophobes, se met au service du comité clandestin d'entraide aux persécutés. Avec pour toile de fond Paris, l'Occupation, la déportation des juifs, ce récit autobiographique reprend le contexte mouvementé de l'époque.

4ème de couv. : "Le docteur Joseph-Charles Mardrus (1868-1949) fut, après Galland, le premier traducteur en français des contes des Mille et Une Nuits, un orientaliste éminent et un acteur important de la vie parisienne de son époque. Égyptien par sa naissance, il fit ses études au Liban avant de s'installer à Paris. La publication de ses contes, encouragée par Mallarmé, fut suivie par d'autres ouvrages illustrés par les artistes les plus célèbres, de Léon Carré à Antoine Bourdelle, de Jacques Touchet ou Carlegle à Picart Le Doux ou Van Dongen. Infatigable voyageur, il parcourut l'Orient avec sa première épouse, la sulfureuse poétesse Lucie Delarue-Mardrus, amie de Natalie Barney et d'autres célèbres amazones, avant de mener une vie moins agitée avec la douce Cobrette, qu'il rencontra en 1914. Ami de personnalités aussi différentes que Paul Poiret ou l'abbé Mugnier, au cours d'une vie habitée par le monde de l'art et de la littérature, il fréquenta également José-Maria de Heredia, Robert de Montesquiou, André Gide, Auguste Rodin, Élisabeth de Gramont ou Catulle-Mendès."

Révélateur des choix de l'entre-deux-guerre, l'ingénieur Bernard-Albin Gras travaille non seulement sur l'esthétique mais également sur la fonctionnalité. Conçue et fabriquée en 1921, la lampe Gras est une lampe à géométrie variable offrant un éclairage performant et un dessin d'une grande modernité.

Un panorama des oeuvres du designer M. Held, des années 1960 à aujourd'hui. Il est notamment le créateur du fauteuil Culbuto en 1967.

Notices de 110 femmes juives ou désignées comme telles qui retracent leur vie, leurs oeuvres, leurs combats. Ces femmes ont toutes pris part à l'histoire moderne et contribué au rayonnement de la France dans le monde.

La décoration d'intérieur et le design des années 1960 et 1970 à travers des stylistes, des designers, des galeries, des éditeurs de mobilier, etc.

Une histoire des arts décoratifs dans la France d'après-guerre, accompagnée de portraits de décorateurs qui marquèrent leur époque, tels Adnet, Arbus, Old, Matégot, ou encore Royère. ©Electre 2016

Présentation de la collection de verres initiée il y a plus de dix ans par le Bordelais Philippe du Mesnil. Elle contient des pièces venant de France, d'Espagne, de Bohême, des pays germaniques et des Pays-Bas. Les verreries vénitiennes ou de style vénitien du XVIe et du XVIIe siècle forment une grande partie de l'ensemble, qui compte aussi des pièces plus utilitaires et populaires.

Une présentation des oeuvres et artistes qui ont marqué l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels de 1925 à Paris, comme les architectes H. Sauvage ou P. Patout, le décorateur L. Süe, le couturier P. Poiret ou encore le sculpteur F. Pompon, mais aussi une étude de son influence en France et dans le monde pendant les années 1930.

Le dessin de bijou est longtemps resté à l'abri des regards et du public. Fonctionnels ou porteurs de rêves inaboutis, ces bijoux de papier constituent pourtant, depuis le XVe siècle, la face cachée des modèles auxquels ils ont bien souvent donné naissance. Cet ouvrage présente une centaine de dessins, essentiellement issus du Fonds Van Cleef & Arpels sur la Culture Joaillière, allant de la deuxième moitié du XVIIIe siècle au début du XXe siècle. Il permet de mettre pour la première fois en lumière ce pan des arts décoratifs totalement méconnu, dans lequel des artisans ou artistes anonymes côtoient les grandes figures de la joaillerie, Tiffany, Lalique, Vever, ou des ateliers de renom comme Paillet, Brédillard et Mellerio-Borgnis. À travers l'étude de sa technique, de ses auteurs ou de son usage, ce livre permet de saisir les enjeux comme la richesse de ce support, à la fois outil, document d'archives et souvent, œuvre d'art à part entière.

Nicolas Eekman (1889-1973) est l'héritier des grands créateurs de sa Flandre natale, de Jérôme Bosh à James Ensor, ainsi que l'un des représentants de l'École de Paris. Né à Bruxelles où il fait des études d'architecture, il s'oriente vers la peinture et s'établit à Nuenen pendant quatre ans, dans le presbytère ou vécut Van Gogh, avant de s'établir à Paris en 1921. Proche de son compatriote Mondrian avec qui il exposera à la galerie Jeanne Bucher (1928), il est également très lié aux artistes Jean Lurçat, Marcoussis, Max Jacob, Lipchitz, et plus tard avec Moïse Kisling et Frans Masereel. Influencé par le cubisme auquel il consacrera quelques années marquantes, il revient progressivement, dans les années 30, vers le réalisme puis se tourne à partir des années 50 vers le fantastique, renouant avec la peinture flammande des xve et xvie siècle. Auteur d'une œuvre peinte foisonnante, il est également un dessinateur, illustrateur et graveur reconnu dont les œuvres ont été collectionnées par de nombreux cabinets des estampes (Bruxelles, Hanovre, Berlin, Hambourg, Bâle, Budapest).